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MAO
Tsumoto Masaki

. Nom : Tsumoto
. Prénom : Masaki
. Surnom : Mao
. Date de naissance : 7 juin en 1985 à Kyoto [22ans]
. Famille : Mère décédé à la suite d'un cancer. Père vivant, habitant dans une petite villa avec sa nouvelle femme. Mao à aussi 2demi-soeurs, mais sa fait un bout de temps qu'il ne les à pas vu.
. Metier : Serveur a mi-temps dans un restaurant de restauration rapide.

. Aime :
- La glace chocolat/menthe
- Les plats épicés
- Faire la cuisine (Qu'il réussit assez bien)
- Le shopping (Bien qu'il est un salaire miséreux)
- Le sirop de citron (Oui il aime beaucoup la bouffe xD)
- Chanter dans la rue avec sa guitare comme un clochard.
- Les perçings
- Sa taille

. Aime pas :
- La glace à la fraise
- Les plats français
- Ne pas être prit au sérieu
- Le narcissisme (Bien qui le soit un peu)
- Les filles hytériques et hypocrite, typique des lycées japonais.
- Se prendre la tête
- Se poser trop de questions

. Description physique : La première chose que l'on remarque chez Mao, est sa petit taille. Il doit mesuré dans les 1m65. Pour un homme de 22ans, c'est pas grand. Mais pour un homme de 22ans au Japon, c'est banal. Sa taille, il adore. Il voudrait surtout pas la changé, car il se compare à plusieurs chanteurs japonais de petite taille. Quand à son poids, il est proportionnel à sa taille : 55kg. Son corps fait essentiellement de muscles, Mao n'en rate pas une pour se mettre en débardeur dans les rues, lorsque l'été montre le bout de son nez. Ses tablettes juste finement dessinées sur son ventre sa poitrine, sa musculature ne va pas dans l'éxéssif. Juste assez pour plaire en faite. Ses hanches sont sculpté tel une statue grec ,totalement magnifique ,sans tabou ,ni impurté. Sa chevelure est de couleur brune, une coupe quelques peu banal que n'importe quel coiffeur est capable de faire. Mais il préfère se les coupés tout seul maintenant, la dernière fois qu'il est partit au coiffeur, son porte feuille en à prit un coup xD. Ses yeux sont assortit a ses cheveux, d'un brun claire, presque noisette. Assez rare parmi les japonais, mais sa mère été à moitié française. Son visage est finement dessiner, encadré par des mèches brune, et coloré par se teint de porcelaine, ses conquêtes l'ont toujours complimenté pour se coté. Ses lèvres sont fine et douce. Quelques peu pulpeuse, juste assez pour en posséder une habile dextérité. Et pas que dans les baisers, si j'peux me permettre U_U. Son sourire est assez rare. Enfin, je veux dire un véritable sourire. Un sourire heureux et content, un sourire qui vous fait oublié problèmes et questions ...La magie de voir Mao content. Ce sourire est si rare, que seule sa mère défunt à put l'admirer, malgrès la tentative de différente conquêtes, celui-ci reste introuvable. Vous aurez quelques esquisses, quelques fin sourire, des rire parfois ...Mais rien de très ..."Vrai". Mao possède une belle voix. Une voix quelques peu unique, au sonorité grave et très légèrement cassé. Agréable en chanson, ou simplement lorsqu'il parle, il aime bien son rire qui est digne d'un assassin machiavélique xD. Pour finir, il possède plusieurs perçing. Totale adorateur de ces petits machin métallique, il n'hésite pas à se percer quand il en à l'occasion: 1 sur le cou, 1 sur le torse (au centre), 2labrets, 1 sur le nez, 1 l'arcade et 6 à chaque oreilles (dont 2écarteurs de 8mm).

. Description mentale : Mao possède un caractère fort et assez complexe sur certain point. D'humeur assez lunatique, le chanteur passe de l'ami serviable, au chieur de première. Un coté de son caractère assez chiant en faite, les personnes qui ont la chance de subir cette petite partie, ont interêt a posséder un caractère aussi fort que Mao. Son comportement peux vraiment dérivé de manière odieuse parfois, même jusqu'à la violence physique. En parlant de violence physique, Mao ne se laisse pas marcher sur les pieds. Bousculez-le, même en lui murmurant un pardon, il vous regardera de travers. Mais ça, seulement si il est de mauvaise humeur. Pour ce qui est de la bonne humeur, il vous ferait un geste de tête banal, avec un léger sourire. Les gestes parle plus que certaine parole. Mao est de nature perfectionniste (dans le genre chiant, vous avez trouver le n°1 xD). Perfectionniste sur ses propres créations, comme la cuisine ou alors ses compositions musicale. Tout doit être parfait, ou alors croyez moi, il risque d'être de très mauvaise humeur. Comme vous l'avez comprit, Mao s'énerve vite. Le moindre problème, la moindre petite chose qui rendrait les gens impassible, l'énerve. Il a un petit coté succeptible sur certaine chose. Tout ce qui est de "rire" a propos de sa famille l'agace. Il ne porte pas spécialement sa famille dans son coeur, malgrès la relation fraternel qui liait la mère et son fils, pour Mao, le reste de sa famille reste comme inconnu pour lui. Il n'a jamais chercher a les connaitre davantage. Entre les guerres avec son père et ses fréquente absences auprès de ses soeurs, Mao se sens perdu auprès de ses "gens" qui dise être sa famille. Derrière ce coté mauvais, rancunier, mauvaise foi, et mauvais perdant, le chanteur possède quelques qualités bien caché. Lorsque l'ont connais bien et qu'on arrive a devenir un de ses amis, Mao est qualifié comme quelqu'un de confiance et de parole. Il essayera de vous réconforté avec les moyens qu'il possède, et de se fait, même si il est assez maladroit dans quelques une de ses paroles, on peut ressentir derrière tout sa, son coté protecteur et bienveillant qui veille sur vous. Il aime quand on lui fait confiance, quand on doute pas de sa parole. Lorsque vous êtes l'un de ses amis, parlez lui. Bien qu'il est du mal avec les personnes qui raconte leur vie, si vous comptez dans son coeur, il boira vos paroles comme la chose la plus précieuse qu'il possède. Si vous avez la chance de faire partit de ses conquêtes, vous aurez l'occasion de le voir sourire, rire peut être aussi. L'occasion de le voir attentionnée et adorable. Quand il est amoureux, il aime bien prendre soin de la personne qu'il chérit, sans trop poussé dans la niaiserie de bas étage. Et pour couronner le tout, une adoration pour la pratique bestial au lit, dîtes parfois "Sado Maso". Si vous n'êtes pas capable d'être violent, passer votre chemin, vous ne risquez pas de faire partit des conquêtes de Mao.

. Histoire : C'est au plus profond d'une banlieue de Kyoto que Mao donna naissance. Une naissance quelques peu banal, sauf le faite qu'il sortit du ventre de sa mère par sésarienne. Les parents de notre chanteur été plus qu'heureux, la venu d'un enfant dans leur jeune couple ne les rendait que plus enthoussiaste. Leur vie commençait donc doucement, créant ce petit foyer avec précaution et attention, son père avait trouver un 2 boulots a mi-temps, le manque d'argent allait être imminant.

Jusqu'à l'âge de 5ans, tout été parfait pour le jeune enfant. Nourrit, gâté, choyer comme pas possible, cet enfant ne manquait de rien, il avait même plus que certain enfant plus riche que lui. Il passait ses journées prés de sa mère qui avait préféré rester au foyer, pendant que sont père allait a gauche a droite pour ses petit boulot. Son père qui disait toujours être loyal, l'exemple type du père de famille, avait beau le dire, il avait beau le décrire même, mais ses actes ne firent rien pour le lui rappeler: oubliait de s'occuper de son fils, jusqu'à mettre sa vie en péril, juste l'instant d'une sortie de sa mère, pendant les rare fois que celle-ci sortait. Le père rentrait parfois à des heures pas possibles. Pas possible pour les métier qu'il faisait en vérité. Prétextant la surcharge de travail a sa femme, celle-ci laissa passer sans aucun problème, elle avait une réelle confiance auprès de son mari. Malgrès qu'il rentrait parfois saoul et sentait la femelle de bas étage, sa mère se dit que cela devait sûrement être le travaille qui l'oblige à avoir pas mal "d'obligation". Des excuses totalement bidon, mais la mère encore prématuré ne voyait que cette solution dans leur couple qu'elle croyait parfait et sans faille.

Pendant les 9ans qui furent passer, le couple vivèrent au jour le jour. Un couple qui commençait peu à peu a se dissoudre sous les actions du père de plus en plus inquiètante. Il lui arrivait parfois de ne pas rentrer pendant 3jours, revenant par la suite sans donné aucune explication rationnel. La mère de Mao, donc la niaiserie commençait à se dissiper, se doutait de quelques chose. Mais elle n'eut jamais le courage de le suivre ou de lui poser des questions. Le seul jour ou elle avait daigner le faire, son mari avait lever la main sur elle. Mao avait assister à la scène avec éffroie ...Tellement, qu'il été paralysé du haut des escaliers, tremblant de peur face à ce père devenu inconnu.

Le jour de ses 14ans, Mao eut le droit de dormir chez un copain pour fêter son anniversaire. L'enfant encore jeune, se contentera de quelques confiseries et boisson avec ses amies. Souriant et épanoui, Mao est un jeune garçon déjà plein d'entrain, qui, même par son jeune âge, ne se fait pas marcher sur les pieds par ses camarades. Que ce soit dans la rue ou à l'école, le jeune brun rentrait toujours à la maison l'air tout miséreux, les habits sale et écorché. Mao aimait bien se battre. C'était un peu le caïd de la bande, le chef quoi. C'est alors qu'il sortait du supermarché avec des amis, les sacs plein les bras, qu'il aperçu au loin son père aux bras d'une charmante demoiselle. Elle était fine, les cheveux d'un brun noisette, quant à ses yeux, Mao été trop loin pour les apercevoir. Le visage de la jeune fille était typique eurasien, un visage comme on en trouve plus. Mais qu'es qu'elle faisait auprès de son père ? Pourquoi avait il un comportement aussi intime entre eux ? Et maman ? Qu'es qu'allait devenir maman ?

Continuant de fixer le couple, Mao vit noir l'espace d'un instant, son sang se glaça, tellement qu'il en fit tomber les sacs sous les yeux surprit et incompréhensible de ses copains. Les images de la scène de terreur qu'il eut le droit d'apprécier quelques semaines auparavant, revint dans son esprit. Chaque coup, chaque cris dissimuler de sa mère pour ne pas réveiller son fils, chaque pleure, chaque plainte, ...il s'en souvenait dans les moindre détails. Il ouvrit la bouche comme pour appeler son père, mais aucun son ne sortait, il été comme ...Muet. Il se força à faire porter sa voix, sans aucun succès. Il écarquilla les yeux. Son père l'avait trahit.

Fixant leur bouche s'entremêler dans un balais endiablé, un baiser qu'on nommerait d'amoureux, il ne put retenir ses larmes. Haineux et triste à la fois, ses larmes été pour sa mère ...Pour sa mère qui n'était aucunement au courante de tout ça, bien que quelques soupçons la tracassait. Il baissa le regard quelques instants pour se dire que cela n'était qu'un mauvais rêve, et que tout était dans sa profonde imagination. Gardant la tête baissé vers le bas, il ferma les yeux. Les plaintes de ses amis autour comme un échos lointain, presque insonore. Il tourna le visage de tout les cotés, se mettant a courir en direction de sa maison. Le coeur lourd, le pied douloureux, Mao courra aussi vite qu'il put ...Comme une espèce de mauvaise impression, un sentiment qu'il se passe quelques chose de mal. En effet, pendant que le jeune brun courrait à en perdre haleine, sa mère était allongée au sol, prés de la table du salon, inconsciente. Celle-ci avait fait un malaise, et malgrès qu'elle est appelé son mari à mainte reprise, celui-ci ne daigna répondre.

10minutes plus tard, lorsque Masaki arriva à sa maison, le souffle coupé par l'éffort. Il ouvrit la porte en trombe, la mère laissant par habitude la porte ouverte pour son fils, la fatigue de plus en plus présente ces derniers temps. Il cria après sa mère, les larmes redoublant le long de ses joues meurtri par la trahison apprise. Il courra jusqu'au salon, ou sa mère se trouvait habituellement allongé sur le canapé. S'avançant doucement prés du canapé, il découvrit sa mère étaler sur le sol, le téléphone fixe entre ses doigts, prêt a rappeler son soit-disant mari. Mao s'approcha sans attendre de sa mère, posant sa tête sur ses genoux, sa main dans ses cheveux il cria à l'aide, criant a tût tête sans vraiment s'arrêter. Il cessa de crier lorsqu'il vit une voisine entrée, qui, tout de suite, appela une ambulance pour la jeune femme étaler sur le sol, dont la tristesse de son enfant c'était écraser sur son visage pâlit par la fatigue. Ils n'attendient pas plus de 5min avant qu'une ambulance arrive, l'hôpital se trouvant très proche de l'immeuble. Quelques ambulanciers montèrent les étages avec un brancart, entrant dans l'appartement avec hâte pour ensuite transporter la mère de famille au plus vite a l'hôpital

"MAMAN !!"

Mao laissa s'échapper une plainte envers sa mère, prés a courir vers elle pour la suivre, mais la voisine le retena en le gardant dans ses bras doucement. Le petit brun tenta de se dégager de l'étreinte de la voisine, mais la course qu'il avait entretenu pour arriver jusqu'à sa maison, l'avait totalement épuisé. Il regarda donc sa mère partir avec ses hommes inconnu vêtu de blanc, les bras de la voisine le réconfortant. Il ne restait plus qu'a dire : Bonne anniversaire Mao.

[SUITE DE L'HISTOIRE]

Les mois passèrent, lentement, doucement, ...Laissant le jeune Mao dans les bras de la voisine, celle-ci désormais responsable du bien de notre jeune enfant. L'enfant n'avait même pas souhaité son 14e anniversaire, ses notes commençaient une vrai chute libre. Rien allait bien pour le moment, sa mère n'était pas présente et son père n'avait donner aucun signe de vie depuis bientôt 5mois. C'est après une longue discussion entre sa mère et les médecins, que Mao fut autoriser à voir sa mère, depuis 5mois. L'enfant arriva à l'hôpital plein d'appréhension et de question, il n'était pas tout jeune et il savait pertinement ce qui se passait dans les hôpitaux et pourquoi les gens y allait. Mais il ne savais pas pourquoi sa mère y restait, elle n'avait aucune maladie ...Si ? Il se tortura pas trop l'esprit pour le moment, le plus important était de revoir sa mère, une chose qu'il avait vraiment désiré depuis un bon moment. Tocant à la porte doucement, la voisine se permit d'entrer dans la chambre. Mao fit un premier pas, examinant la pièce trop blanche à son goût, beaucoup trop proche de la mort ...Il avait toujours penser que l'hôpital été le passage juste avant la mort et il n'avait pas tord. Lorsqu'il dégagea de sa main le rideau qui le séparait encore de sa mère, un frisson d'effroit lui parcourut l'échine. Qu'es que c'était ? Il continua de fixer sa mère sans vraiment la reconnaitre, et tourna la tête vers la voisine, qui le poussa un peu vers l'avant.

Un visage fin, maigrit pas des joues creuses lui offrait un sourire radieux et reconnaissant, c'était bien sa mère. Là, il avait reconnu. Il s'approcha doucement, hésitant, presque de peur de la blesser, de la faire souffrir, mais il ne pouvait succomber à se sourire qui l'avait tellement connu, qui l'avait tant de fois redonner la joie de vivre. Il la regarda, sans aucune parole, laissant ses doigts caresser la main de sa mère avec douceur et affection. Lorsque ce fut l'heure de ce quitter, Mao lui adressa juste un sourire, un fin sourire doux et tendre qui lui offrait autre fois. Il se recula en lâchant cette main douce, sortant de la chambre d'hôpital sans ses retourner, l'air déterminer.

Aujourd'hui, Mao à 17ans. C'est un jeune homme épanouie, qui, durant ses 3ans, à totalement changer. Les sourires, les rires qu'il avait autrefois n'était plus, ils avaient comme disparut mais pas dans leurs totalité. Il est vrai que lors de ses fréquentes visites à l'hôpital pour voir sa mère, il lui offrait le sourire que seule elle avait eut la chance de connaître. Quand à son père, il ne l'avait plus revu, et c'était bien mieux comme ça. La haine et la rancoeur qu'il éprouvait pour son père, c'était estompé au file des années ...Ne ressentant désormais plus aucun sentiment pour cet être immonde. Il est vrai qu'il y a 2ans, il aurait assassiné de ses propre main, mais c'est pas ce que sa mère aurait voulu ...Qu'il vive dans la peine et le déshonneur toute sa vie. C'est le 4 avril 2002 à 5h12, que ça mère décéda d'un cancer du foie, rendant son dernier souffle pour rejoindre les anges. Mao apprit la nouvelle, ne versant aucune larme. Il aurait préférer casser des trucs, taper contre le mur ou encore aller se battre dans la rue, il aurait put faire tout ça, son caractère qui c'était forgée sur plusieurs années lui en donnait les moyens plus que n'importe qui. Mais ce n'était pas ce que sa mère aurait voulu. Sa mère aurait juste voulu qu'il vienne a son enterrement, sans produire d'émeute ou mettre sa vie en péril. C'est avec difficulté que Mao réussit a se contenir, soulageant sa peine dans sa chambre, ou il détruit toute les choses possible.

L'enterrement se passa dans la plus grande des banalité : Des prières, des fleurs, des pleurs, ...Tous les proches de sa mère c'était réunit dans la petite église dans la banlieue, son père n'avait même pas eut le culot de venir a son enterrement. Mao quitta le lieu de cérémonie avant tout le monde, ne voulant pas recevoir davantage de pitié envers les personnes qui se disait être sa famille. Il ne leur avait répondu que par des regard froid et des mouvement de tête sans grande signification. C'est à partir de cet instant que sa vie de solitaire commença.

Sa vie se passa paisiblement, une vie banal sans trop de problème, que ce soit du coté de l'argent ou du logement. Lorsque la cérémonie fut finit, Mao se rappela qu'un de ses oncles tenait un restaurant assez fréquenté dans le centre de Kyoto, cet oncle lui avait même proposer de travailler en temps que serveur, a mi-temps, le temps qu'il trouve un petit boulot, histoire qu'il est de l'argent. Pendant plus de 4mois, il continua de coucher chez la voisine qui l'avait receuillie quelques années plus tôt. La jeune femme, maintenant âgée, le considérait comme son véritable fils ...En effet, a cause d'un problème d'ovule, elle n'avait put concevoir d'enfant, et représentait Mao comme un cadeau de dieu. C'est lorsque Mao eut suffisament d'argent pour se payer un studio qu'il quitta sa 2e demeure famillial, avec beaucoup de regret. C'est vrai, cette femme l'avait acceuillit sans demander son reste, en essayant de remplacer sa mère défunt en le choyant comme son véritable fils ...Mais maintenant Mao été grand, il avait 19ans et il été prêt à devenir indépendant et commencer sa vie.

Il trouva très rapidement un studio à un prix vraiment bas, plus bas qu'il ne le pensait. Certes, le studio n'était pas le top du luxe, mais sa le convenait amplement pour commencer. Sa vie se déroula le plus tranquillement du monde. Il travaillait toujours à mi-temps dans le restaurant de son oncle, rencontrant parfois des personnes assez intéréssante qui lui fit découvrir les plaisir de la chair et de l'amour. C'est à cette époque que Mao commença à sortir beaucoup plus souvent, lié des rencontres avec diverses personnes pour ensuite s'en faire des partenaires le temps d'une soirée. Et oui, Mao été devenu un jeune homme à l'allure attirante, plaisant autant aux hommes qu'aux femmes. Son caractère c'était aussi un peu adoucit, osant esquisser quelques sourires incertain et offrir des rires au éclat effacer à plusieurs de ses conquêtes ...Mais jamais n'eut le droit de voir ce sourire qu'il avait perdu. Le sourire que seule sa défunt mère eut le privilège de connaître. Il connut l'amour ...A 2 reprises, un amour réciproque et sensuel que seul un homme pouvait lui offrir. Leur amour était beau, mais Mao possédait une nature beaucoup trop libertine et ne pouvait s'empêcher d'aller voir ailleurs et cela, même si il été amoureux.

Ce n'est qu'a l'âge de 21ans qu'il revit son père. Il ne le reconnu pas tout de suite, reconnaissant d'abord la dame qui était a ses côtés. Il n'avait pas oublier le visage de cette femme. Malgrès que la vieillesse prenait doucement le dessu sur teint de porcelaine, il avait reconnu. Il resta impassible a vrai dire. Il avait encore une immense rencoeur pour son père, mais il ne fit rien, il ne le frappa pas, n'allant même lui demander des explications pour sa nouvelles vie. Surtout lorsqu'il aperçu la petite eurasienne à la main de la femme. Il l'a fixa longuement, son regard se croisant même pendant un long moment ...La petite fille lui souriait avec optimisme et joie, elle sourit de ce sourire qu'il avait perdu. Ce n'est qu'après quelques minutes, que Mao se retourna et partit à l'opposer de la localisation du jeune couple, sans même demander son reste.

A l'aube de ses 22ans, son oncle décéda. Sans vraiment y prêté une grand attention, il continua son travaille a mi-temps dans son restaurant, son cousin ayant prit la place de son père. Sa vie continue de suivre son cour ...Il trouva même un appartement avec une meilleure vue et de meilleures disponibilité. Sa nouvelle vie commença dans cette appartement au coeur de Tokyo, au coeur d'une ville encore totalement inconnu pour lui. La capitale.

FICHE TERMINE !
Excusez moi, j'ai un peu "bacclé" la fin,
L'infinite flemme ...xD

PS : J'ai inventé les 3/4 des choses, car Mao est vraiment quelqu'un de mystérieu uu' ...
J'ai beau cherché des biographie sur lui, je n'en toruve pas.
J'ai même inventé son prénom/Nom.

Mdr, quand on pond une fiche comme ça je n'appelle pas ça de la flemme x)
Fiche Validée et Vérouillée, bon RP ! n__n